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En marchant sur les cotés des fleuves rouges
Les fleuves de mes rêves constants
Des eaux violentes et calmes
Comme la vie des nombreux amantes
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Les gens passent sans regarder le monde
Petit à petit les souvenirs retournent
Pour te rappeler que la terre est encore ronde
Malgré tu ne vois rien de ce bel environnement
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Les feuilles tombent sur les sols morts
Des secs arbres autour d’un foret triste
Les temps dans ce lieu deviennent courts
Jamais avant les âmes avaient plus rythme
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Des fins des couches mars sont en approchant
Le chemin en dessous me pieds se tourne obscure, noir
Vers les cramoisis vents mon corps ira
Et en ferment mes yeux je laisserai la mer ce soir
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